Visite de mes parents au Chili

Cela faisait presque 3 ans que l'on ne s'était pas vus. La dernière semaine de février, des vacances d'été au Chili, et la première de mars, la semaine de la rentrée des classes, nous avons reçu la visite de mes parents Agnès et Vincent.

Ma mère, abuela Agnès.

Et mon père, abuelo Vincent.

Pour la dernière semaine de vacances, nous sommes allés passer 3 jours sur le littoral central, à côté de la capitale, Santiago, à Punta de Tralca, une jolie plage.

Juste à côté de Isla Negra, l'île Noire (qui n'est pas une île), la plus belle des trois maisons du poète et prix Nobel chilien, Pablo Neruda, une visite qui a passionné toute la famille.

Une étoile des mers ramenée de la plage.

Ma fille de Violeta, de retour à Santiago, à Cerrillos, notre commune à la périphérie de l'immense centre ville.

Et sa grande soeur Catalina, absorbée par la réception et la lecture de Julien à beaucoup d'imagination, le livre écrit et dessiné par son grand-père que nous allions présenter le lendemain à la Librairie du GAM, le centre culturel Gabriela Mistral.

Déjeuner en famille et entre amis après le lancement du livre.

C'était le dernier week-end des vacances, le lundi c'était la rentrée.

Segundo básico, CE1, pour Catalina et Kinder, dernière année de maternelle avant le CP pour Violeta. Pour la première fois, les deux soeurs vont à la même école, le Mater Dei, le même collège de fille et de bonne soeurs que leur maman, ma femme Teresita. Comme leurs grands-parents étaient en visite au Chili, nous avons sollicité l'autorisation de leur faire rater le mercredi, le 3ème jour de classe, pour aller faire une sortie avec leur abuelo Vincent qui adore les zoos.

Lamas.

Otarie et lion de mer, bien dressés, à grand renfort de petits poissons.

Loups.

Lions.

Rinocéros.

Et même des dinosaures.

Asado, barbecue, chez mon grand ami Cédric, avec sa compagne Fanny.

Et ma femme Teresita, qui elle n'était pas en vacances pendant la visite de mes parents, que nous avons peu vu avec la semaine de 45 heures au Chili (et ses deux heures de transport par jour).

À bientôt pour d'autres nouvelles.