Puerto Varas

À presque 1000 km au Sud de Santiago, 13 heures en bus de nuit avec des sièges beaucoup plus confortables que ceux de l'avion, au bord du lac Llanquihue avec le volcan Osorno à l'arrière plan.

Connue pour son architecture allemande.

Au 19ème siècle, le gouvernement chilien a invité des colons allemands à peupler la région.

Nous n'avions pas quitté Santiago depuis août de l'année dernière et nos vacances en France et en Croatie. Nos amis brésilien Dédé (Andrés) et franco-urugüayenne Anaïs ont quitté la capitale pour aller tenter leur chance à Puerto Varas. Ils nous manquaient, nous sommes allés passer un week-end de trois jours chez eux. Ils ont ouvert un café dans un typique et sympathique hôtel de mochileros.

À deux pas du terminal de bus Cruz del Sur (très bon rapport qualité-prix, bon siège, couverture, oreiller, petit-déjeuner, 1000 kilomètres pour 15 000 pesos) où nous sommes arrivés. 

Ils servent les petits déjeuners aux clients de l'hôtel (réductions pour les lecteurs de ce blog Corentin au Chili). Comme nous ils n'ont que des filles qui sont bien copines avec les nôtres. 

Teresita ma femme avec notre Violeta 3 ans, Naïma 4 ans, notre Catalina 5 ans, Lua 2 ans et 

Kiara 9 ans.

Au Chili, nous sommes en automne, sol y lluvia, soleil et pluie.

Nous avons passé le dimanche au coin du poêle, avec lequel nous avons beaucoup joué avec Teresita qui pourtant auparavant ne supportait pas l'odeur du bois brulé. Anaïs est experte pour couper les buches à la hache. Malheureusement, c'est dans le journal d'aujourd'hui, le moyen de chauffage traditionnel du sud est aussi le plus polluant, le gouvernement chilien offre des radiateurs à gaz en échange des salamandras (poêles).

C'est le tuyau de poêle qui chauffe le deuxième étage.

Le lundi nous sommes allés voir la señora de alambre, la femme fil de fer.

Au Chili aussi la fête des mères est au mois de mai.
À la crèche de Violeta.

Violeta était déguisée en petit chat.

Teresita ne pouvant pas demander des permissions à tout bout de champ au travail. C'est Francisca, ma belle-mère qui a été envoyée au front pour la fête des mères à l'école de Catalina.

Classe de lecture à la maison.

Les travaux de rénovation de notre maison étaient à l'arrêt. Mise à part l'installation de lampadaires dans le jardin.

Réunion avec les amis, Cédric, Marco et Humberto.

Et une selfie.